Remerciements

Mes remerciements vont en premier lieu à Bernard Chevallier, Amaury Lefébure et Emmanuel Starcky, directeurs des musées nationaux de Malmaison et de Compiègne, qui m’ont fait toute confiance quant à l’étude des bijoux et à leur manipulation, ainsi qu’à Catherine Marquet, chef du département du Livre à la Réunion des musées nationaux, qui a accepté ce projet de publication.

Je dois aussi beaucoup à Françoise Maison et à Laure Chabanne, conservatrices au musée de Compiègne : la première a précédé mon travail et mis les bijoux à ma disposition, la seconde s’est associée à mes recherches et a retrouvé plusieurs pièces enfouies dans les réserves. Au musée de Malmaison, je suis redevable à Christophe Pincemaille, chargé d’études documentaires, d’avoir reclassé les archives, ce qui m’a permis d’accéder aux dossiers des donateurs. Je n’oublie ni mes collègues conservateurs Alain Pougetoux, Céline Meunier et Élisabeth Caude, ni Anne Bouin, documentaliste, qui a suivi avec soin les campagnes photographiques, ni, au palais de Compiègne, toute l’équipe du musée.

À la Réunion des musées nationaux, j’adresse ma vive reconnaissance à Yolande Manzano et Anne-Lise Guinchard, qui m’ont aidée tout au long du travail éditorial avec l’assistance d’Alice de Gouville, chargée de la quête des photographies dans les musées et de la gestion de l’iconographie, puis d’Aurélie Abgrall et de Marine Devienne. Fatima Louli a, comme toujours, fait tout ce qui était en son pouvoir pour que les campagnes photographiques soient programmées en temps voulu ; je l’en remercie vivement, ainsi que Gérard Blot, fidèle photographe de Malmaison, Dominique Couto et Valérie Caillon-Gervier, qui ont contribué tous deux à mettre en valeur l’iconographie.

Je remercie Gérard Mabille pour sa coopération et sais gré à Aglaé Bustany, Anne Dion-Tenenbaum, Roseline Hurel, Muguette Jumeau, Louis Mazin, Marie-Joseph Bossans, Estelle Fallet, Raphaële Carreau, Gérard de Villeneuve-Esclapon, Pierre d’Harville et Cécile Massot, ainsi qu’aux conservateurs et documentalistes de musées parisiens, régionaux ou étrangers, d’avoir accepté de participer à cet inventaire, de communiquer toutes les informations et photographies dont ils disposaient et de nous avoir autorisés à reproduire les œuvres de leurs collections. Ma gratitude s’adresse également aux éditions Somogy et à Philippe Fuzeau pour la mise à disposition de leurs photographies.

Cette aide et cette compétence, je les ai également trouvées auprès de Patrick Voillot, gemmologue et Raymond Escobar, joaillier, dont les conseils avisés m’ont été précieux, ainsi que Claude Seguin, chargé de mission au musée de Malmaison, et Armelle Der Balian, fille du bottier Sarkis Der Balian.

Enfin, je ne peux oublier dans ces remerciements mon mari, Henri Joannis-Deberne, qui a réalisé les croquis de bijoux et m’a fidèlement soutenue dans cette entreprise.